Il y a cette mélodie lancinante et... cette guitare au début d’un morceau qui grince en hurlant, anticipant la ligne d’un destin qui échappe. La voix se pose, s’accrochant à une ritournelle répétitive qui ondule la boîte crânienne pour mieux endormir la vigilance. Mais la guitare revient, insatiable, stridente, ulcérée, marquant cette fameuse ligne blanche qui se tord à force de lactescence et d’insipidité. Celle-là même que l’on broie avec frénésie pour mieux prendre son envol.

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